jeudi, juin 29, 2006

Article de presse

LE MONSTRE DU LOCH NESS N’EST PAS OU L’ON CROIT !

« […] C’est la stupeur dans cet arrondissement tranquille de l’Est parisien où depuis quelques jours barbotte dans les eaux du Canal St-Martin un animal étrange (voir photo) sur lequel les scientifiques n’ont pas encore réussi à mettre de nom (est-il seulement répertorié ?) La police fluviale a tenté, en vain, de saisir le baigneur préhistorique qui les a repoussé en les aspergeant copieusement avec sa trompe. Cependant l’animal ne semble pas menaçant et quelques riverains affirment même l’avoir vu transportant des enfants sur son dos, à la plus grande joie de ces derniers qui rentraient chez eux, trempés et hilares. Dans le cas où ce “Nessy” parisien devrait se monter pacifique, la mairie du XIe arrondissement envisage déjà d’en faire une attraction touristique que ne manqueraient pas de signaler les bateaux-mouches sillonnant les eaux du canal. […] »

(Extrait du Parisien Libéré n° 32231 du mercredi 29 juin 2006)

dessins: Agnès de Vinck
bidouillage et pige: Olivier Cariot

mercredi, juin 28, 2006

l’anniversaire de Julos Beaucarne


Un terrain de Beauvechain rempli d’herbe folles, un petit chapiteau de cirque pour un spectacle , des personnes aux regards lumineux, un très vieux hêtre aux racines comme des trompes d’éléphant, de la Super des Fagnes (une bière qui me remonte le moral!) , des musiciens, une vierge Marie dans un coin qui regarde la scène avec bienveillance et julos au milieu , 70 ans mais comme un enfant ,avec sa tendresse et son cœur pur.

deux musiciens, guitaristes, entre autre ...et Julos

les Tourdus Philomenos

mardi, juin 20, 2006

En attendant le train


« … en attendant le train. »
C’est ainsi qu’il a souhaité alléger notre rupture. En la glissant entre deux trains en partance, dans le brouhaha de Bruxelles-Midi. Une rupture qu’il désirait presque anodine puisque notre histoire fut brève. Négligeant qu’il existe de brèves histoires inoubliables, d’autant plus inoubliables qu’elles n’eurent pas le temps de s’abîmer dans la routine.
Et je le vois, là, maintenant avachi dans l’osier de cette chaise de gare ; observant d’un œil vague l’inéluctable déclin de la mousse couronnant sa bière. J’espère dans cet avachissement, cet oubli de soi, un minimum de questions, à défaut de regrets.

Moi, je trône sur une valise vide, fierté ridicule pour afficher un départ, un train que je ne prendrai pas. Bras croisés, je fais mine d’attendre, comme tout le monde. Lui n’a même pas sauvé les apparences : aucune valise pour justifier l’anonymat sinistre de cette gare. Je prends ça comme une insulte. La colère monte. J’aurais aimé une Delsey aussi vide que la mienne ! Au lieu de quoi, son avachissement m’apparaît maintenant comme du mépris.

Heureusement (si l’on peut dire…), il se redresse brusquement dès que je m’assoie en face de lui. Mon visage crispé le gêne. Il souhaitait un blabla anodin et pense maintenant que mon irritation mérite plus d’explications. Ce calcul hypocrite ne fait qu’augmenter ma colère. Alors, l’interprétant comme de l’incompréhension, il se rend lui-même incompréhensible, mouline quelques gestes maladroits et quitte brusquement le bar quand il pense avoir suffisamment justifier son absence de sentiments.
Et moi je n’ai bafouillé que quelques mots ridicules, toujours désarmée devant cette lâcheté, pourtant récurrente au point, qu’avec le temps, j’aurai du fignoler un réquisitoire en béton. Mais ma colère cède le pas devant ma déception.

(Je reconnais cependant le confort inattendu des chaises en osier. Je m’y vautre maintenant à mon tour. Ma valise vide trône toujours au milieu de la gare : un joli flic tourne autour, le regard suspicieux. — Je me lève et m’approche de lui en souriant).
O.Cariot

Merci Olivier (O. Cariot), de m'avoir laissé ce petit bout d'hisoire inspiré par le dessin ci dessus. C'est une très belle surprise et peut être que ton histoire inspirera d'autres talents à son tour. Toutes les autres inspirations spontannées sont les bienvenues.

jeudi, juin 15, 2006

à l'aide!

j’essayais de redifuser le dessin avec la discussion de bistro pour qu’elle apparaisse en plus grand , mais au bout d’un acharnement d’une demi heure sans succès, je décidais de laisser ma question dans l’espace de service d’aide aux blogeurs. Voici ce qu’il me répondent!

Essayez avec cette orthographe: les images que j'ai suprimer n se supplement pas dans mon blog, cells que j'invoices n'apparent pas

c'est daipriment!

ouverture de la chasse



Si quelqu'un peu me dire ce que je dois faire pour que cette image s'agrandisse quand je clic dessus! apparemant ça marche une fois sur 20. Chez moi en tout cas ça apparaît tout cripté. genre:"ve§"vgzyssegzjh§§"'rt" ... ça sur toute la page!

mercredi, juin 14, 2006

Aaaah si Vermeer m'avait vu!


avec un apareil photo jetable, à Amserdam devant le Reijksmuseum

mardi, juin 13, 2006

de retour de l'exposition Rembrandt/ Caravage à Amsterdam


Portrait de rembrandt par son ami Jan lievens.
Il grate déja dans la peinture pour faire les cheveux comme Rembrandt plus tard.
rembrandt à du lui piquer des truc , c'est sûr!

un bébé Gibon est né à Lille